L’écovillage, un modèle pour vivre ensemble à l’avenir?Clés pour comprendreFocus

3 décembre 2009

ecovillagesLe mouvement des écovillages représente un potentiel énorme pour apporter des solutions à de nombreux problèmes de société. Pour mettre en œuvre ce potentiel, ce mouvement doit prendre une ampleur sociétale, c’est-à-dire à passer de la marge à la norme.

Un écovillage, qu’est-ce que c’est ?
« Un écovillage est un établissement humain intentionnel, urbain ou rural réalisé à échelle humaine disposant de toutes les fonctions nécessaires à la vie, dans lequel les activités s’intègrent sans dommage à l’environnement naturel tout en soutenant le développement harmonieux des habitants. C’est un lieu où les initiatives se prennent de façon décentralisée – selon les principes de la démocratie participative – et de manière à pouvoir se prolonger avec succès dans un futur indéfini. » Robert Gilman

Les écovillages sont des exemples concrets de la possibilité d’adopter un mode de vie « soutenable » aussi bien dans les campagnes qu’en zone urbaine. Ils témoignent de la possibilité d’alternatives pratiques au système dominant, dans les domaines de l’habitat, de l’alimentation, de l’approvisionnement énergétique, etc. Ils témoignent également d’un changement plus vaste dans la conception de la vie humaine, du vivre ensemble, du rapport à la nature. L’écovillage présente potentiellement une solution concrète à différents problèmes de société, notamment écologiques et sociaux.

Une volonté de « reliance »

Le concept d’écovillage voit le jour au début des années 90, sous la plume de Ross et Hildur Jackson (fondateurs de Gaia Trust, au Danemark), en réponse aux objectifs énoncés par l’Agenda 21. Il naît de la fusion entre les termes « écologie » et « village », pour désigner un ensemble d’initiatives d’éco-habitat. La spécificité des écovillages réside dans leur capacité à servir d’exemples concrets de communautés viables, reproductibles autant en zone urbaine que rurale, pour différents types d’habitats, de climats, de cultures. Les écovillages se présentent comme une réponse pratique aux problèmes de dégradation de notre environnement écologique, social et spirituel. Ils visent l’insertion consciente des activités humaines dans leur écosystème et la reconstitution d’un tissu social convivial qui dépasse les écueils de l’individualisme ambiant et encourage une diminution des écarts sociaux. Ils peuvent être vu également comme une réponse à la question du vide de sens qui caractérise la société dite postmoderne à travers leur volonté d’œuvrer à davantage de « reliance » à soi-même, aux autres et à la nature (1).

Le caractère « reproductible » de l’écovillage ne doit pas être compris comme l’universalisation d’un modèle unique (sur le mode de la production industrielle), mais plutôt comme la réappropriation toujours singulière et locale d’un ensemble d’objectifs clefs qui en constituent l’horizon. C’est par rapport à ces objectifs que se pose la question de la portée universelle de l’écovillage.

L’écologie, la convivialité et le pluralisme

L’écologie, la convivialité et le pluralisme sont les trois objectifs principaux des écovillages. Explorons-les un à un.

Ecologie
L’idée visée par l’objectif premier, la diminution de l’empreinte écologique, est de ne pas solliciter les ressources naturelles (l’air, l’eau, la terre) plus qu’il n’est possible de les reconstituer. Les solutions envisagées pour parvenir à cet objectif ne sont pas exclusivement techniques : les énergies renouvelables (solaire, éolienne, hydraulique) sont encouragées en vue d’une autonomisation énergétique progressive, mais ce recours doit s’accompagner d’une volonté de réappropriation des techniques, des savoirs et des savoir-faire par la population civile. Sans cette réappropriation, le développement des technologies vertes encourage une vision technocratique de la société, qui va à l’encontre de l’idéal démocratique. Par ailleurs, la réduction de l’empreinte écologique ne peut être envisagée sans une diminution de la production et de la consommation des biens. Ceci ancre le modèle des écovillages dans le mouvement pour la « simplicité volontaire » et fait de lui un exemple de microsociété décroissante. Cette réduction se double de la volonté de relocaliser la culture et l’économie, en privilégiant les rapports marchands de proximité, en encourageant l’économie locale, en circuit court, tant pour l’alimentation que pour la construction.

Convivialité

Le second objectif de l’écovillage est de reconstituer un tissu social véritable et d’instaurer un mode de vie convivial. Ce qui est visé n’est pas l’instauration d’un mode de vie communautaire au sens soixante-huitard du terme, mais plutôt la reconstitution d’une structure villageoise qui combine habitat privatif et insertion dans un tissu de solidarité. Il ne s’agit pas ici d’un retour en arrière nostalgique : un défi majeur pour les écovillages est d’intégrer les acquis idéologiques de l’ère moderne (l’idéal de liberté individuelle, par exemple) et les aspects positifs de la vie rurale ancestrale qui se sont perdus en cours de route (comme le tissu social, la solidarité). Le terme « convivial » doit être compris dans un double sens : il désigne d’une part la valorisation des rapports humains et la solidarité entre les individus ; il renvoie, d’autre part, à la définition de la convivialité proposée par Ivan Illich, selon laquelle la convivialité concerne l’autonomie de l’individu vis-à-vis de l’outil industriel. Cette définition renvoie à l’idée d’une réappropriation par les individus des outils technologiques et institutionnels (2). Ce concept est intéressant car il permet également de penser la question de la justice sociale. Toujours selon Illich, la justice sociale n’est possible que dans une société autonome, qui n’est pas dépendante d’un trop grand nombre d’outils, d’institutions et de structures pour sa survie et son bien-être. La mise en place de structures locales et simplifiées pour accéder aussi bien aux outils nécessaires à la vie qu’aux soins de santé et à l’éducation fait des écovillages un modèle type pour une société juste au sens illichien.

Pluralisme

Le troisième objectif concerne la dimension pluraliste du concept d’écovillage. En effet, il ne comporte pas, en tant que modèle, d’orientation religieuse ou culturelle particulière. Il vise au contraire à encourager la coexistence et le dialogue entre des visions différentes du monde. Cela ne veut pas dire qu’aucun écovillage ne revendique une orientation culturelle, politique ou spirituelle particulière (bon nombre d’entre eux le font explicitement). Cela signifie que le concept d’écovillage n’implique pas l’adhésion à un système de croyances particulier. On objectera qu’il y a bien un système de croyances sous-jacent à ce modèle, dont les trois objectifs que l’on vient d’énoncer sont le reflet, et qui permet d’unifier sous l’appellation d’« écovillage » un ensemble d’initiatives très diversifiées. L’initiative des écovillages est par ailleurs héritière d’une culture et de courants de pensée qu’elle exprime de façon généralement implicite. C’est évident : le modèle d’écovillage n’est pas neutre, il propose en effet une vision du bien, qui est certes minimaliste, mais qui lui confère une dimension normative. Cette vision est néanmoins suffisamment vaste et ouverte à différents types d’interprétations pour que l’on puisse parler d’un modèle pluraliste.

Combien y a-t-il d’écovillages ?

Il est difficile d’évaluer le nombre total d’écovillages existants. Le Global ecovillage network (3), qui recense l’ensemble des initiatives, compte 243 membres, dont certains sont des associations d’écovillages, comme le Réseau français des écovillages qui porte 34 projets. Par ailleurs, bon nombre de projets d’écovillages ne se définissent pas comme tels, alors qu’à l’inverse certains projets qualifiés d’écovillages sont très loin des objectifs décrits ci-dessus, voire s’approprient l’appellation pour la valeur ajoutée du terme « écologique », et cela à des fins commerciales.
Parmi les écovillages les plus connus, citons : Auroville, écovillage spirituel situé près de Pondichéry, dans le Tamil Nadu, au sud de l’Inde ; Findhorn en Ecosse ; Huehuecoyotl dans l’état de Morelos au Mexique. En Belgique, des initiatives existent également : la ferme à habitat groupé de Vevy Wéron à Wépion, le projet Lorien, en province du Luxembourg, mais aussi de nombreuses initiatives d’habitats groupés à visée écologique en ville et à la campagne (4).

Et dans les villes ?

L’écovillage suscite bien des questions. Un des enjeux majeurs, lorsque l’on réfléchit à l’écovillage en tant que modèle alternatif de développement, est bien évidemment le problème des villes. En effet, 50 % de la population mondiale vit dans les villes (dont un tiers dans des bidonvilles). Cela fait de l’urbanité « soutenable » l’un des enjeux majeurs de la réflexion écologique et sociale de ce début de siècle.

ecovillages2Le modèle de l’écovillage rural, en tant qu’il contribue à maintenir et à rétablir la « soutenabilité » dans les communautés rurales existantes (en créant de l’emploi et en encourageant l’économie locale et l’artisanat), peut, si les initiatives se multiplient, contribuer à diminuer l’exode urbain. Mais il ne sera sans doute pas à même d’arrêter et encore moins d’inverser la marche de l’exode. D’où l’intérêt de réfléchir à la possibilité d’appliquer le modèle de l’écovillage dans les villes pour créer des lieux de vie locaux soutenables et conviviaux dans les périphéries urbaines. A plus long terme, cela pourrait modifier l’organisation urbaine elle-même. Plusieurs exemples d’initiatives existent qui vont dans ce sens : l’écoquartier Vauban à Fribourg (5) depuis 1996, celui de BedZed au sud de Londres qui a débuté en 2001, ou encore le projet Dongtan en Chine (6), qui devrait voir le jour en 2010, témoignent de cette volonté de repenser le mode de vie et les structures urbaines.

Les écovilles doivent faire face à des questions spécifiques de taille, dont trois problèmes majeurs. Il faut partir d’une infrastructure existante rarement favorable, ainsi que d’un groupe non homogène de personnes dont les objectifs et les ambitions diffèrent. Par ailleurs, le nombre d’individus concernés rend plus complexe la mise en œuvre de structures participatives. Pour faire face à ces obstacles, l’écoville ou l’écoquartier proposent des mesures structurelles : l’instauration d’un quartier piéton, la promotion des commerces et producteurs locaux, la mise en place de groupes d’achats, comme les GAC, GAS ou AMAP (7), l’instauration d’un système de recyclage des eaux usées, la diminution de la pollution sonore et lumineuse, la promotion des énergies renouvelables, l’implantation d’espaces verts et de potagers collectifs, etc., sont autant de mesures qui contribuent à diminuer l’empreinte écologique et à recréer un tissu de solidarité entre les individus qui s’y engagent.

Dans cette ligne d’idées, un mouvement intéressant à l’heure actuelle est celui des « transitions towns » (villes en transition), qui a été théorisé par Rob Hopkins (8) en 2005 et mis en application pour la première fois dans la ville de Totnes (Angleterre) en 2006. Il s’agit d’une initiative citoyenne visant à transformer une ville existante en développant sa « résilience » (9) pour la rendre viable sans pétrole et capable de faire face aux dérèglements climatiques à venir. On compte aujourd’hui plus de 150 initiatives officielles (10). L’intérêt majeur de ce mouvement est qu’il constitue une initiative citoyenne (mouvement par le bas), et qu’il se développe à partir des structures existantes.

Une vision « apolitique »

Le monde contemporain pâtit de divers problèmes qui sont aujourd’hui de notoriété publique (inégalités sociales, limites de la croissance, pollution des sols, de l’eau, etc.). Ces problèmes peuvent être analysés comme les symptômes de la fin d’un modèle de société. Cela signifie, d’une part, la fin d’une certaine représentation du monde que nous avons héritée de la modernité : une conception strictement instrumentale du rapport homme-nature (l’idée que le monde vivant est une chose pour l’homme) ; un modèle social fragmenté qui favorise l’individualisme et dégrade les tissus sociaux ; une vision économiciste du monde (productivisme axé sur la compétition et le profit) ; et une conception matérialiste de la prospérité humaine. D’autre part, cela signifie la fin du mode de vie lié à cette représentation du monde : le type d’habitat, de loisirs, d’alimentation, de production, etc., est amené à se modifier en profondeur.

D’un point de vue descriptif, sociologique, l’écovillage est intéressant parce qu’il témoigne de l’émergence d’un nouveau modèle de société, capable de succéder au modèle actuel une fois que celui-ci aura rendu son dernier souffle. En ce sens, l’écovillage peut être vu comme une réponse pragmatique aux problèmes contemporains, réponse volontairement marginale parce qu’elle bâtit une autre société qui ne partage pas les axiomes du modèle dominant. A la question de la portée de ce modèle, de sa généralisation possible à l’ensemble de la société, on peut répondre en termes de temps et de patience, supposer que ce modèle va faire « tache d’huile » et convertir progressivement de plus en plus d’adeptes jusqu’à devenir majoritaire. Cette approche témoigne d’une vision focalisée sur un mouvement « par le bas » du passage de la marge à la norme, qui est totalement apolitique.

Il nous semble intéressant d’envisager également une approche plus normative de la question, en nous interrogeant sur la possibilité d’aborder le problème « par le haut » et d’y réfléchir sur le plan politique comme à un modèle de développement sociétal alternatif. Il s’agirait dès lors de poser, à partir de l’étude des écovillages, la question de la réorientation des activités humaines au niveau de la société. A cet égard, l’intérêt d’une étude portant sur les écovillages permet d’inverser l’ordre habituel de la réflexion théorique. Plutôt que de poser de manière abstraite la question de la soutenabilité, il s’agit ici de partir des initiatives montrant de facto comment se nourrir, se loger, se chauffer et vivre ensemble d’une façon qui soit écologiquement et socialement soutenable, pour ensuite en dégager les éléments d’un modèle reproductible.

L’écovillage comme solution possible

L’urgence et l’importance des problèmes actuels font que l’on ne peut se contenter exclusivement d’un mouvement « par le bas » : les initiatives individuelles doivent pouvoir trouver un relais politique qui impose une approche plus normative. L’un des enjeux pour y parvenir est de dépasser le conflit existant entre théoriciens et praticiens : les intellectuels ont tendance à snober les acteurs de terrain, tout comme bon nombre de militants ou de praticiens adoptent des positions anti-intellectualistes (a fortiori vis-à-vis du monde académique). C’est un enjeu majeur que de parvenir à créer des ponts entre l’engagement concret dans des initiatives isolées et la réflexion théorique. En effet, autant les initiatives concrètes ouvrent des possibles, autant leur reformulation théorique peut permettre de les fédérer en leur donnant une visibilité et donc une force sociale. Il nous semble en ce sens capital de dépasser l’opposition entre la théorie et la pratique, entre la politique et l’engagement quotidien… et cela ne va pas de soi.

Par ailleurs, cette approche normative suppose l’ouverture de la sphère politique à des questions de fond. Elle suppose l’existence d’un espace au sein duquel les orientations profondes de la société actuelle puissent être questionnées. Elle suppose enfin que la sphère politique ne soit pas calquée sur le modèle économique, réduite à un rôle d’arbitrage entre des intérêts individuels : elle doit pouvoir débattre d’une vision commune en dépit et à partir du contexte pluraliste actuel.

En ce sens, l’écovillage ne pourra être considéré de facto comme un modèle généralisable et comme une solution aux problèmes socio-écologiques actuels que si, d’une part, les initiatives se multiplient, et que, d’autre part, elles acquièrent une visibilité sur la scène sociale, laquelle suppose des relais politiques et des ponts vers un ensemble de questions théoriques. De cette façon nous nous apercevrons peut-être ensemble que si véritablement nous voulons nous orienter vers un mode de vie soutenable, il nous faudra opter pour un modèle de développement qui partage, sinon toutes, en tous cas bon nombre des caractéristiques de l’écovillage. Mais peut-être faudra-t-il attendre que les contraintes climatiques, sociales ou énergétiques, prenant la forme de fléaux, de pénuries ou de catastrophes, nous imposent cette réflexion ? Nous ne l’espérons pas.

Charlotte Luyckx (doctorante en philosophie à l’UCL et assistante en faculté de médecine de cette même université, elle travaille sur la question des enjeux éthiques et épistémologiques des problèmes écologiques, qu’elle aborde notamment à partir de l’exemple des écovillages)
Article publié dans Imagine demain le monde (n°75 – septembre & octobre 2009)

(1) Le concept de reliance exprime le troisième terme d’un processus dont les deux premiers sont le « lien » (fusionnel, étouffant, rassurant) et la « déliance » (séparation, libération, isolement). La reliance renvoie à l’idée de renouer des liens sur le sol d’une séparation. Cf. Voyage au cœur des sciences humaines : de la reliance, tomes I et II, Marcel Bolle de Bal, L’Harmattan, 1996.
(2) La convivialité, Ivan Illich, Seuil, 1973.
(3) Site du GEN pour une liste et un descriptif des projet existants : http://gen.ecovillage.org/
(4) Pour une information complète sur les initiatives d’habitats groupé belges : www.habitat-groupe.be/
(5) www.vauban.de/
(6) www.dongtan.biz/english/stjs/
(7) Groupement d’achat commun (GAC), Groupement d’achat solidaires (GAS), Association pour le maintien de l’agriculture paysanne (AMAP) : ce sont des associations de citoyens, producteurs et consommateurs qui s’organisent en circuit court pour soutenir la production agricole biologique, de saison et locale.
(8) The transition handbook : from oil dependency to local resilience, Rob Hopkins, Green Books, 2008. Imagine a publié un article sur ce sujet dans son numéro de juillet-août dernier.
(9) Le terme « résilience » renvoie à la capacité d’un système de faire face à une crise. En l’occurrence, la résilience concerne la capacité de survivre malgré la pénurie à venir des ressources pétrolières.
(10) Selon le Transition network : http://transitiontowns.org/TransitionNetwork/TransitionCommunities, consulté le 5 mai 2009.

Photo 1 : Quelques maisons de l’écovillage de Findhorn, en Ecosse.
Photo 2 : En zone urbaine, le projet Dongtan, en Chine, qui devrait voir le jour l’année prochaine.

En savoir plus :

10 commentaires sur “L’écovillage, un modèle pour vivre ensemble à l’avenir?”

  1. Maton dit :

    J’aimerais connaître votre avis sur le régime alimentaire que vous compter mettre en place ? Donc aussi sur les installations de cultures et d’élevages ? Donc sur le nombre d’hectares disponibles dès le départ et le nombre d’hectares estimés par famille (4) ?
    Merci.

  2. jeanne dit :

    bonjour je voudrais creer un village tiny house autosuffisant de bien être mais en forêt est ce que cela est possible ?
    merci par avance
    jeanne

  3. Céline dit :

    Vous trouverez plein d’adresses utiles au bas de l’article.
    Tout dépend aussi de la région où vous habitez.
    D’autres adresses sur https://www.habitat-groupe.be
    Bonne recherche.

  4. leopold lachat dit :

    Bonsoir a vous
    Nous sommes retraités et souhaitons rejoindre une communauté de vie eco pour aider des jeunes et des anciens.Pourriez vous nous indiquer des lieux aux autres renseignements
    Merci à vous Lachat L

  5. Roland dit :

    Je partage sur mon site des bonnes pratiques et des ressources pour essayer de booster le mouvement des écovillages en Afrique et dans le monde: Eco-Villages Africa – Ressources et Bonnes Pratiques pour l’émergence d’écovillages en Afrique: freiner l’exode rural, créer des emplois, améliorer la qualité de la vie plus d’autonomie alimentaire, énergétique et financière, tout en s’ouvrant plus sur le monde
    http://habiter-autrement.org/37-ecovillage-afrique/eco-afro_ca.htm
    Cela pourrait aussi faire l’objet de plusieurs mémoires de fin d’études. Mémoires – Cours – Formations – MOOC – Bases de données ….
    http://habiter-autrement.org/37-ecovillage-afrique/73_eco-afro.htm
    Le rôle possible de la diaspora afin de booster ce mouvement et le soutien direct aux villageois
    http://habiter-autrement.org/37-ecovillage-afrique/67_eco-afro.htm
    Le partage des savoirs et des savoir-faire: projet tablette/radio communautaire
    http://habiter-autrement.org/37-ecovillage-afrique/57_eco-afro.htm

  6. Melissa dit :

    Bonjour,

    Comment puis je integrer un eco village au mexique ou au bresil(ou en alternance selon la durée du visa).
    J’aimerais vivre avec cette maniere d’agir et de penser dans un pays etranger, hors Europe(1 an et demi minimum, voir plus selon les opportunités)

    Quelqu’un pourrait me donner des pistes?

  7. Aurore dit :

    Ok, merci pour tout!

  8. Céline dit :

    Bonjour,
    Je ne sais pas s’il en existe un mentionné comme tel, mais la dynamique des écovillages induit l’accueil de tous, me semble-t-il. Cherchez un projet d’écovillage près de chez vous: http://gen.ecovillage.org/ecovillages/find-an-ecovillage.html
    ou au bas de l’article.
    Bonne recherche!

  9. Aurore dit :

    Bonjour, existe-t-il un ecovillage qui accueille des jeunes en difficulté, en rupture, fragilisé? Merci pour la réponse.

  10. Aurore dit :

    Magnifique résumé, merci beaucoup!