Un jardin, ça se partage !


Publié le Lundi 11 octobre 2010 | 4 commentaires »
Venus de Suisse et d’Amérique du Nord, les jardins collectifs et autres potagers communautaires – qui se confondent bien souvent ! – connaissent aujourd’hui une véritable explosion. Souvent havres de biodiversité et tournés vers le bio, ils ont pour avantage de concrétiser les idées généreuses et – trop souvent – désincarnées sur le développement durable. Ils créent également de nouvelles formes de partage et de rencontre, voire contribuent à alimenter un laboratoire d’innovations sociales prometteuses…





En matière de rénovation et de construction, les matériaux naturels contribuent à améliorer l’isolation et la qualité des logements. Témoignage d’entreprises ayant opté pour les isolants naturels. De quoi protéger la santé de leur personnel et de leurs clients, tout en contribuant à la réduction des consommations d’énergie et à une économie plus « éthique ».
Bientôt la Saint-Valentin… et ses offres spéciales, ses super promos et autres techniques marketing en tout genre. Histoire de rappeler que la fête des amoureux, c’est davantage une question d’amour que d’achats, le Collectif to be and not to pub lance « Faites l’amour, pas les magasins ». Bien plus tentant, non?
La crise laitière, qui éclatait il y a quelques mois, dénonce les menaces qui pèsent sur le monde agricole. Elle questionne aussi l’alimentation, le mode de production et le modèle de société actuel. Des questions qui nous concernent tous, en tant que citoyens et éducateurs. Rencontre avec Xavier Delwarte, de la Fédération Unie de Groupements d’Eleveurs et d’Agriculteurs (FUGEA).
En septembre dernier, des producteurs laitiers épandaient leur gagne-pain dans les champs pour tenter de se faire entendre. L’Europe, quant à elle, restait complètement sourde aux cris de détresse de ses propres producteurs, préférant les abandonner que de remettre en cause des orientations quelques peu douteuses en ces temps de crise systémique. Pour bien comprendre comment on en est arrivé à une telle situation, il importe de revenir en arrière…
Le mouvement des écovillages représente un potentiel énorme pour apporter des solutions à de nombreux problèmes de société. Pour mettre en œuvre ce potentiel, ce mouvement doit prendre une ampleur sociétale, c’est-à-dire à passer de la marge à la norme.