Ne me parlez pas d’urgence !
Publié le Mardi 21 décembre 2010 | 3 commentaires »
On l’entend partout : urgence. Ici c’est le petit écran qui le dit. Là, c’est un rapport des Nations Unies. Ecrit par des scientifiques. Urgence, planète, survie. Trois mots qui semblent désormais indissociables. Et répétés à l’envi par les journalistes, les hommes politiques, les parents anxieux, et même, dorénavant, par leurs enfants inquiets.





Une Haute École en Ardenne, trois profs, trois matières, des étudiants de troisième normale primaire. Objectifs : travailler en interdisciplinarité, s’approprier la pédagogie du projet, communiquer ce qui a été découvert et surtout transférer la démarche travaillée avec les enfants du primaire lors du stage. Voilà le défi que relèvent, depuis trois ans déjà, une équipe de jeunes professeurs, autour du… cochon ardennais !
Stéphane Noirhomme est formateur en Education relative à l’Environnement (ErE) à l’Institut d’Eco-Pédagogie et animateur nature indépendant. Les spécificités de l’ErE, ses dérives, le métier de formateur : interview d’un explorateur pédagogique.
Marina Gruslin forme les futurs instituteurs primaires dans la Haute Ecole Charlemagne et a créé le Centre d’Education Relatif aux Interactions Santé et Environnement (CERISE).
Imaginez une école où élèves et professeurs sont à égalité dans l’exercice du pouvoir. Où ils gèrent ensemble l’établissement au quotidien, des comptes aux cantines. Où le « droit d’errance » est au cœur du projet d’établissement. Où le respect du rythme individuel de l’élève prend les formes d’un projet collectif. Vous êtes à Limerlé, à « Pédagogie Nomade », une vraie école, mais démocratique. Survol.
Sous les pinceaux frénétiques des enfants du fondamental et des élèves d’art du secondaire, une fresque collective s’est dessinée dans la cour de récré de l’Institut des Filles de Marie. Un projet suscitant la créativité et la reconnaissance, avec l’intervention d’un artiste peintre, et qui poursuit l’ambition d’améliorer le quotidien de la cour.