Les agrocarburants, pire que l’énergie fossile?
Publié le Lundi 1 février 2010 | Commentaires fermés
Soutenus à la base comme alternative à l’énergie fossile, les agrocarburants n’ont pas répondu aux attentes écologiques. Pour les pays du Sud, l’impact social et environnemental de l’agro-industrie se révèle d’ailleurs catastrophique.

Aaaaah la voiture, la bagnole, la caisse… Parfois adorée, parfois détestée, elle ne laisse personne indifférent. Mais comment la rendre moins polluante? La voiture électrique pourrait être une « solution ». Au fond, qu’est-ce qu’une voiture électrique ? Et pourquoi ne l’utilisons-nous déjà pas tous?
« Consommation et savoir-faire alimenTerres », un projet formatif à étapes multiples proposé par Quinoa et ses partenaires. Plongeons dans notre assiette, et autour.
Coup de projecteur sur Dioxyde de gambettes, GO² pour les intimes, une société de livraison à vélo qui fait ses premiers tours de roue à Bruxelles.
La cosmétique nous renvoie à ces images de femmes et d’hommes très apprêtés, pomponnés, presque rutilants, de certains milieux huppés où apparence et statut se rejoignent… Mais la cosmétique, c’est autre chose. Et c’est, en tout cas, une affaire bien trop sérieuse pour l’abandonner aux seuls adeptes du bling-bling et à leurs insatiables pourvoyeurs, les industriels de la beauté et du marketing.
La crise laitière, qui éclatait il y a quelques mois, dénonce les menaces qui pèsent sur le monde agricole. Elle questionne aussi l’alimentation, le mode de production et le modèle de société actuel. Des questions qui nous concernent tous, en tant que citoyens et éducateurs. Rencontre avec Xavier Delwarte, de la Fédération Unie de Groupements d’Eleveurs et d’Agriculteurs (FUGEA).
En septembre dernier, des producteurs laitiers épandaient leur gagne-pain dans les champs pour tenter de se faire entendre. L’Europe, quant à elle, restait complètement sourde aux cris de détresse de ses propres producteurs, préférant les abandonner que de remettre en cause des orientations quelques peu douteuses en ces temps de crise systémique. Pour bien comprendre comment on en est arrivé à une telle situation, il importe de revenir en arrière…
« Atelier de leadership »… Détrompez-vous, il ne s’agit pas d’un cours pour devenir un leader incontestable, mais bien d’un moment de rencontre pour créer ensemble un projet et s’engager à le mettre en place. L’association québécoise AQPERE l’a testé en initiant l’atelier de leadership en éducation relative à l’environnement. Explications.
Des motivations à la fois environnementale et financière m’ont amené à tester « Cambio », le service de voitures partagées (ou de « carsharing » pour les polyglottes). Résultat en quelques lignes.
Le mouvement des écovillages représente un potentiel énorme pour apporter des solutions à de nombreux problèmes de société. Pour mettre en œuvre ce potentiel, ce mouvement doit prendre une ampleur sociétale, c’est-à-dire à passer de la marge à la norme.