Interview croisée : WWF >< DGRNE
Publié le Jeudi 18 novembre 2004 | Commentaires fermés
Alors que l’UICN vient de sortir sa nouvelle liste rouge des espèces menacées, notre interview croisée d’experts ouvre solutions et réflexions à la Belge.
Alors que l’UICN vient de sortir sa nouvelle liste rouge des espèces menacées, notre interview croisée d’experts ouvre solutions et réflexions à la Belge.
Eparpillées dans les plaines vallonnées de l’Attert, de petites maisons multicolores égayent la campagne luxembourgeoise. Beckerich, à l’image de ces villages typiques de la région, semble avoir gardé son caractère conservateur. Hmm ? Conservateur ? Pas tant que ça ! Voici 20 ans, avec quelques riverains, le village s’engageait sur la route du Développement Durable. Rencontre avec un bourgmestre pas vraiment comme les autres.
Que ce soit par conviction pour le Développement Durable, pour redorer son blason ou encore pour séduire actionnaires et clients, les raisons ne manquent pas aux entreprises de s’engager vers une gestion « responsable » de leurs activités. Par ailleurs, au niveau réglementaire, un paquet de conventions, de codes, standards et autres lois sont à leur disposition pour les y aider. Mais dans les faits, la majorité des firmes belges ont-elles vraiment la fibre RSE (Responsabilité sociétale des entreprises) ?
Cyrille Souche est le fondateur de M&C, une agence française de conseil en communication dédiée au Développement Durable des entreprises et des collectivités. Son ambition au quotidien: orienter leurs pratiques vers une plus grande éthique parce que « nous appartenons à la dernière génération qui peut encore faire quelque chose pour éviter l’irréversible ». Alors, entreprises et Développement Durable, couple maudit ou mariage à l’horizon ? L’expert en communication nous livre ses impressions…
Le protocole de Kyoto entrera en vigueur le 16 février 2004. L’occasion d’interviewer le climatologue belge Jean-Pascal van Ypersele, professeur à l’Institut d’astronomie et de géophysique de l’UCL, et vice-Président de l’un des trois groupes de travail du GIEC. Il éclaire les enjeux d’aujourd’hui et de demain, chez nous, à l’heure où consommation d’énergie et réchauffement climatique vont de pair.
Le rêve ne s’achète pas, ou alors il est tellement cher qu’il devient cauchemar, c’est le cas pour 400 000 Belges surendettés. Comment en sont-ils arrivés là? Pourquoi? Comment s’en sortir?
Il y a cinq ans, l’unique supermarché bon marché des Marolles fermait ses portes. Un drame pour les habitants les plus démunis de ce quartier populaire bruxellois. Mais, depuis le printemps dernier, à l’initiative d’une association et de quelques distributeurs, l’ouverture d’une supérette sociale a redonné espoir à ces populations en difficulté. Zoom sur un projet qui pourrait bien faire école
Être à l’écoute des « habitants de la rue », aller à leur rencontre, partir de leurs représentations, respecter leurs demandes, suivre leur rythme, voici l’objectif de Diogènes, une association bruxelloise qui se veut passerelle entre les sans-abri et les services sociaux. Son directeur, le sociologue Laurent Demoulin, pose un regard tout en nuance sur le monde de la rue.
Reportage dans le monde méconnu de la rue, ses SDF, ses habitants, ses travailleurs. Vingt milles lieux sur Bruxelles.
Sous le ciel de l’Afrique, de l’Amérique latine ou de l’Asie, les populations subissent, comme partout, des maladies et des accidents. La différence, c’est que les pays sont moins riches et ont souvent plus de difficultés à résoudre les problèmes de santé. Et quand le Nord veut aider, il se fourvoie souvent, au risque d’empirer la situation.