Après le pétrole
Publié le Lundi 3 septembre 2007 | 3 commentaires »
Première source d’énergie primaire au monde, le pétrole sert à tout : rouler, voler, naviguer, s’habiller, se chauffer, produire de l’électricité, fabriquer du plastique, du chewing-gum et des baskets… Aujourd’hui pourtant, la pénurie annoncée des énergies fossiles et l’urgence climatique mettent nos sociétés devant de nouveaux défis, considérables…

Devenu l’une des principales sources de revenu dans le monde, le tourisme constitue une nouvelle richesse qui amène autant d’évolutions que de bouleversements. À cela, une solution : voyager « de manière responsable ».
A l’heure où l’on s’alarme des conséquences de l’activité humaine et ses impacts sur le climat, des initiatives écologiques émergent aux quatre coins de la planète. En Nouvelle-Zélande, une famille construit elle-même une maison respectueuse de l’environnement, constituée de plus de deux mille pneus et autres matériaux recyclés. Des mois de labeur qui permettront à Brian, Karen et leurs enfants de vivre en autosuffisance.
Maurizio Pallante est consultant en efficacité énergétique au Ministère italien de l’Environnement et de la Protection du Territoire et de la Mer. Chantre de la « décroissance heureuse », cet ancien professeur s’échine à bousculer nos idées sur ce que devrait être la société de demain. Interview.
Chaque année, la firme de jeans Levi’s organise pour son personnel une journée de volontariat au sein d’associations belges. Une bonne occasion pour se faire connaître des organisations qui l’entourent et resserrer les liens entre des employés parfois noyés dans un organigramme complexe. Rencontre entre l’univers d’une multinationale et le monde associatif.
Quand des employés motivés militent pour faire entrer le développement durable dans leur entreprise, les idées ne font pas défaut pour sensibiliser leurs collègues : formations, campagnes de sensibilisation, aménagements… Dexia l’a vécu, avec de beaux succès et quelques obstacles.
Une qualité de vie normale exige environ 80 litres d’eau par jour et par personne. Or, dans les pays développés, cette consommation grimpe de 100 à 500 litres par personne et par jour. En analysant la consommation d’eau, on est parfois surpris de voir le nombre de litres gaspillés chaque jour. Pourtant, une utilisation plus rationnelle permet de faire de grosses économies. Bénéfique pour la planète… et pour le porte-monnaie !
Marcher en faveur d’une société meilleure où les liens sociaux et le bien-être priment sur l’accumulation matérielle, voilà un idéal qui unissait cet été les marcheurs de la « Dé-marche ». Nous les avons suivi pour un bout de chemin.
Auteur d’ouvrages sur le développement durable, Sylvain Allemand propose, dans « Les paradoxes du développement durable », de faire un état des lieux du concept à l’heure de son 20ème anniversaire. Le journaliste français y explore les enjeux, défis et perspectives. Quelles sont les contradictions inhérentes à ce type de développement ? Comment l’intégrer dans notre économie de marché actuelle ? Éléments de réponse.
Manger des produits frais de la ferme, c’est possible, même en ville. Déjà présents en Wallonie et aujourd’hui à Bruxelles, les « GAS », Groupes d’Achats Solidaires, achètent fruits et légumes d’une ferme partenaire. Plus qu’un simple réseau de consommateurs, ils partagent l’envie d’une alimentation différente. Un pas de plus vers une consommation responsable.