A quand l’informatique écologique et éthique ?
Publié le Mardi 9 décembre 2008 | 1 commentaire »
Il est des innovations qui font partie intégrante de notre quotidien. L’ordinateur, par exemple, s’est installé dans nos maisons et nos lieux de travail… pour ne plus les quitter. Et pour cause : il permet de s’informer en temps réel, de communiquer avec des personnes vivant à l’autre bout du monde, de transmettre des données… Mais, il apporte aussi son lot de problèmes : sa contenance en matériaux polluants et source de conflits, ainsi que son recyclage.
Animatrice aux Equipes populaires, un mouvement oeuvrant pour une société d’égalité et de justice sociale, Christine Steinbach partage sa vision de la place de l’environnement dans la sphère d’action sociale. Etre concret, tenir compte du quotidien, articuler l’individuel au collectif… tels sont quelques conseils prodigués pour adapter les pratiques pédagogiques au public précarisé.
Lutter contre la grande pauvreté et l’exclusion des plus démunis, tel est le défi d’ATD Quart Monde Wallonie-Bruxelles. Chaque mois, est organisée l’Université Populaire Quart Monde. Un lieu qui permet aux personnes très pauvres et aux autres citoyens de s’exprimer librement et de construire une réflexion à la fois individuelle et collective. Des questions variées y sont abordées: famille, travail, logement… Jusqu’ici, l’environnement ne figure pas au centre des débats, du moins pas directement. Rencontre avec Régis De Muylder, responsable de la Maison Quart Monde de Bruxelles.
7 jeunes sur 10 se disent prêts à s’impliquer dans un projet citoyen. Mais, comment passer de la parole à l’action ? Où se renseigner ? Au Forum d’action sociale et humanitaire, « Flash 2008 », qui s’est installé pendant une semaine sur le site de Tour & Taxis, à Bruxelles. Des expositions, pièces de théâtre, projections, témoignages…
A l’heure du réchauffement climatique, de l’extinction de certaines espèces animales, de l’épuisement des ressources ou encore de la crise alimentaire mondiale, penser autrement et sur du long terme devient inévitable et primordial. Mais, au fait, comment en est-on arrivé là ? Quel comportement doit-on adopter pour changer la donne ? Des questions abordées par « C’est notre Terre ! », une exposition sur le développement durable qui se tient actuellement à Bruxelles. Monquibouge.be a assisté à l’une des visites guidées réservées aux enseignants et éducateurs. 
Conversation à bâtons rompus avec Daniel Cauchy. Il est à l’origine d’un jeu qui éclaire de manière amusante les liens entre la manière dont nous mangeons et nous vivons. Le contenu de notre assiette devient révélateur des impacts de la consommation sur l’environnement, la santé et la vie sociale. Ces liens sont représentés par une ficelle reliant les différents aspects en interrelation, la qualité de l’eau, le Fonds monétaire international, la publicité, la déforestation, la faim. 
La perte du pouvoir d’achat est sur toutes les lèvres. Mais qu’est ce que « le pouvoir d’achat » ? En simplifiant, on peut dire que c’est le fait de pouvoir acheter la même chose d’une année à l’autre. La solution pourrait être dans l’énoncé du problème… Acheter la même chose. Pourquoi ne pas plutôt essayer d’acheter autrement ? Rencontre avec une famille qui expérimente l’éco-consommation au quotidien… aussi pour des raisons économiques !
Suite au Protocole de Kyoto, la Belgique s’est engagée à réduire ses émissions de gaz à effet de serre de 7,5% d’ici 2012. Utopique ? Pas tant que ça ! Des familles participant au « Défi Energie » ont réussi à réduire leurs émissions d’une tonne par an, soit 20% de leurs émissions ! Cela uniquement grâce à des gestes simples, sans investissement. Découvrez leurs secrets.
Face à l’urgence climatique, une « révolution » s’impose. L’enjeu est global. Le passage à l’acte devra être collectif, émanant des gouvernements, des entreprises, des citoyens… Tour d’horizon avec le climatologue Jean-Pascal van Ypersele et l’explorateur polaire Alain Hubert.
La flambée actuelle des prix agricoles est un signal d’alarme. Elle rappelle avec force la nécessité d’instaurer des politiques publiques qui soutiennent l’agriculture familiale locale. Tel est le message de Paul Nicholson, représentant européen au sein de l’organisations paysanne internationale La Via Campesina.
