Parler de développement durable dans les quartiers précarisés
Publié le Mercredi 6 mai 2009 | Commentaires fermés
Hélène Le Breton travaille sur le quartier de Maurepas à Rennes (France), un quartier parmi les plus « sensibles », comme pédagogue de rue au GRPAS (groupe rennais de pédagogie et d’animation sociale). Le GRPAS définit sa pédagogie sociale comme un « travail hors les murs », basé sur différents principes tels que la pédagogie de l’expérience, la pédagogie en lien avec le territoire… ici, pour un public précaire. L’objectif de l’association est ainsi de valoriser les compétences et les savoirs de chacun.

Nées au lendemain de Mai 68, les maisons médicales sont un lieu de santé, mais aussi d’humanité.
Sous les pinceaux frénétiques des enfants du fondamental et des élèves d’art du secondaire, une fresque collective s’est dessinée dans la cour de récré de l’Institut des Filles de Marie. Un projet suscitant la créativité et la reconnaissance, avec l’intervention d’un artiste peintre, et qui poursuit l’ambition d’améliorer le quotidien de la cour.
Le monde ne changera pas en un jour… mais, tous les jours, nous pouvons porter en nous ce projet ! Découvrez la campagne « Porteurs d’ErE – l’Education relative à l’Environnement (ErE) à notre portée ! » et devenez Porteurs d’ErE. En tant que citoyen ou qu’organisme, tout le monde est concerné. Car être nombreux à porter ces idées, et le savoir, c’est motivant et porteur auprès d’autres citoyens, entreprises, institutions, élus !
Dans un contexte de crise financière évoluant vers une récession économique majeure, le mouvement altermondialiste perd petit à petit le monopole de la critique du néolibéralisme. Pour continuer à jouer un rôle dans le débat public, il doit donc apporter ses propres réponses aux diverses crises mondiales.
Alors que l’ONU nous parle de lutte contre l’extrême pauvreté, et non plus contre la pauvreté (triste et comique aveu d’impuissance !), voici une comparaison de ces deux notions. Qu’entend-on par là ? A partir de quel point de vue les envisageons-nous ? Qu’impliquent-ils concrètement ? Prenons un peu le large !
Rencontre avec un monsieur aux yeux pétillants et au sourire rassurant, qui se dit « ni riche, ni pauvre », mais bien concerné pas l’environnement et la santé. Aux côtés d’autres familles, Mustapha, sa femme et ses enfants participent à un projet de logements « passifs », dont l’originalité se situe au croisement entre politique d’immigration, processus participatif et environnement.
Les choix de développement et les modèles de politiques menés par les institutions internationales mettent en péril l’autonomie alimentaire des pays du Sud et qui dégradent la planète. La crise actuelle illustre ce problème de façon particulièrement aiguë.
Pour répondre aux carences de l’État et à l’absence d’investissements privés, des organisations paysannes maliennes se sont unies pour mettre en place une filière semencière digne de ce nom. Le défi est de taille. Mais l’enjeu est vital.
Animatrice aux Equipes populaires, un mouvement oeuvrant pour une société d’égalité et de justice sociale, Christine Steinbach partage sa vision de la place de l’environnement dans la sphère d’action sociale. Etre concret, tenir compte du quotidien, articuler l’individuel au collectif… tels sont quelques conseils prodigués pour adapter les pratiques pédagogiques au public précarisé.