Artiste porteur d’eau
24 mars 2009 | Commentaires fermés
Comédien, metteur en scène et auteur, Pietro Pizzuti est aussi la figure emblématique de la Charte mondiale des artistes pour l’eau. Inspirée du Manifeste de l’Eau pour un contrat mondial, du politologue et économiste Riccardo Petrella, cette charte des artistes défend le droit à l’eau pour tous. Pietro la porte à bras le corps dans le milieu des arts vivants.

Contribuer à un monde meilleur en consommant mieux, est-ce possible ?
Le seul fait de poser la question dans le contexte de crise actuel, où chacun essaie de faire au mieux pour son budget, peut paraître déplacé.
Au contraire, ce peut être le moment de nous interroger sur le rôle de la consommation dans nos vies.
Le monde ne changera pas en un jour… mais, tous les jours, nous pouvons porter en nous ce projet ! Découvrez la campagne « Porteurs d’ErE – l’Education relative à l’Environnement (ErE) à notre portée ! » et devenez Porteurs d’ErE. En tant que citoyen ou qu’organisme, tout le monde est concerné. Car être nombreux à porter ces idées, et le savoir, c’est motivant et porteur auprès d’autres citoyens, entreprises, institutions, élus !
Face à la crise annoncée de l’énergie et de la mobilité, se dessinent aujourd’hui des alternatives pleines de promesses. L’habitat groupé est l’une d’elles qui, en plus de permettre d’évidents bénéfices écologiques, ouvre surtout l’individu à des « micro-sociétés » où se partage un projet commun. Bavardons, pour en savoir un peu plus, avec l’architecte Hubert Sauvage, membre du groupe des professionnels de l’écobioconstruction de Nature & Progrès…
À l’occasion de l’anniversaire du protocole de Kyoto, plus de 130 écoles wallonnes et bruxelloises ont diminué leur chauffage d’1°C dans le cadre de la « Journée Gros Pull ». L’objectif : rappeler symboliquement les engagements de la Belgique en termes de réduction d’émissions de gaz à effet de serre.
Dans un contexte de crise financière évoluant vers une récession économique majeure, le mouvement altermondialiste perd petit à petit le monopole de la critique du néolibéralisme. Pour continuer à jouer un rôle dans le débat public, il doit donc apporter ses propres réponses aux diverses crises mondiales.
Alors que l’ONU nous parle de lutte contre l’extrême pauvreté, et non plus contre la pauvreté (triste et comique aveu d’impuissance !), voici une comparaison de ces deux notions. Qu’entend-on par là ? A partir de quel point de vue les envisageons-nous ? Qu’impliquent-ils concrètement ? Prenons un peu le large !
Rencontre avec un monsieur aux yeux pétillants et au sourire rassurant, qui se dit « ni riche, ni pauvre », mais bien concerné pas l’environnement et la santé. Aux côtés d’autres familles, Mustapha, sa femme et ses enfants participent à un projet de logements « passifs », dont l’originalité se situe au croisement entre politique d’immigration, processus participatif et environnement.
Pour ou contre le nucléaire ? Au premier coup d’oeil, le « Forum nucléaire » semble ouvrir l’épineux débat. Pourtant, en y regardant de plus près, le constat est déroutant : voici une campagne de pub à l’initiative du lobby nucléaire qui laisse peu de place à la discussion. Associations et citoyens s’indignent et passent à l’action. Exemple avec le « Vrai forum nucléaire » mis en place par six citoyens afin de véritablement donner la parole à tous.
Suite à un concours de scénarios dans le cadre de la campagne Parapub, l’asbl GSARA présente 6 spots vidéo et radio posant un regard critique citoyen sur la publicité commerciale. L’association lance un appel à diffusion de masse… en réponse au matraquage publicitaire de masse!